« Pinocchio (live) s’inscrit dans la continuité de cette recherche sur la vie cachée de la marionnette. (…) Comme l’exposition [Pinocchio(s)], elle ancre ainsi la fiction dans la vie. Dans une quotidienneté qui participe d’une sorte de réalisme magique. D’une étrangeté d’autant plus perturbante qu’elle est basée sur un rejet de toute illusion de réel. Car davantage que le récit pour enfants dont elle reprend le titre, c’est son propre processus de création qu’Alice Laloy donne à voir dans Pinocchio (live). À travers un rituel qui prend à rebours le cycle de vie et de mort habituel de la marionnette. »
article par Anaïs Heluin pour Scèneweb, mai 2019