Un article de Sarah Franck pour ART-CHIPELS.FR – 20 septembre 2021
« Rejetant la trame linéaire de la fable théâtrale traditionnelle, Alice Laloy présente
une somme de variations sans parole mais en musique, en bruits et en lumières
autour du thème de la respiration et de ses relations avec les émotions humaines.
Elle fait de la scène un champ d’expérimentation en même temps que le lieu
plastique d’une vision de fin du monde. »
Reportage audio des coulisses d’Avignon par Régine Dubois, journaliste à la RTBF – diffusé le 27 août 2021.
Dans les coulisses de Pinocchio(live)#2 à partir de 38’50 écouter ici.
La scénographie de Pinocchio(live)#2 décortiquée dans un dossier de Géraldine Mercier pour le magazine AS – Actualité de la scénographie n° 239.
Un article d’Isabelle Fauvel pour Les Soirées de Paris, revue culturelle fondée en 1912 par Guillaume Apollinaire – 27 août 2021
Un article de Fabienne Darge pour LeMonde.fr – 12 juillet 2021
« La metteuse en scène présente le spectacle le plus beau, original et troublant de la première semaine du festival. »
Un article d’Armelle Héliot pour Le Journal d’Armelle Héliot – 21 juillet 2021
« C’est un travail très étonnant, qui mêle plusieurs genres, si l’on peut dire sans équivoque, que propose Alice Laloy, artiste formée en scénographie à l’école du Théâtre National de Strasbourg. On est sans cesse troublé, sinon profondément perturbé, par ce qu’elle donne à voir, à éprouver. »
Un article de Dom Poirier pour Dernières Nouvelles d’Alsace – 21 juillet 2021
Rendez-vous culture sur RFI avec Alice Laloy à l’occasion des représentations de Pinocchio(live)#2 au Monfort Théâtre, par Laura Laplaud – 20 juillet 2021
Dans le cadre des actions culturelles menées par le Festival d’Avignon, la création de Pinocchio(live)#2 a permis la réalisation d’une émission de web radio et d’un petit reportage, l’occasion de rencontrer les performeurs du spectacle :
Un article de Denis Sanglard pour le blog Un fauteuil pour l’Orchestre – 18 juillet 2021
« C’est une performance des plus troublante, singulière de par sa forme originale, d’une abrasive et inquiétante poésie. Pour le spectateur ébahi par la force de cette proposition d’où suinte lentement le malaise, c’est véritablement un choc. Alice Laloy retourne magistralement le conte de Pinocchio dont elle ne retient que la métamorphose. »
