DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE novembre 2004
Avec la création « D’Etats de femmes », la jeune metteuse en scène, Alice Laloy, emmène le spectateur dans un univers intimiste chorégraphié et charnel où cohabitent poésie et force des images.
DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE novembre 2004
Avec la création « D’Etats de femmes », la jeune metteuse en scène, Alice Laloy, emmène le spectateur dans un univers intimiste chorégraphié et charnel où cohabitent poésie et force des images.
L’ALSACE novembre 2004
Pendant une petite heure, les spectateurs de la Filature ont été tenus en haleine, lors de la création sur spectacle d’Alice Laloy D’Etats de Femmes.
Sur la scène, trois comédiens manipulateurs, un musicien.
DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE janvier 2005
C’est la deuxième création d’Alice Laloy, ancienne élève du TNS : dans « D’Etats de femmes », trois marionnettistes-musiciens manipulent des corps féminins en perpétuelle évolution.
THEATRE-ENFANTS.COM novembre 2006
Nous entrons comme par effraction dans la salle encore éclairée : le spectacle a déjà commencé. Sous un plafond fait dʼampoules assemblées comme des grappes de bulles, trois hommes ont entamé une recherche fébrile mais patiente, une tâche de longue haleine : ils veulent cerner lʼessence de la Femme : rien que cela !
DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE mars 2007
Petit bout de princesse ou matrone d’argile, les femmes étaient l’autre jour au centre de l’attention des Giboulées de la marionnette à Strasbourg. Délicieux.
LE TELEGRAMME juin 2011
Avant-dernier spectacle pour le Grand Théâtre ce soir avec « D’états de femmes », par la Compagnie S’appelle Reviens, au studio de création.
LUXEMBURGER WORT avril 2011
« D’états de femmes », présentée au Tarffo CarréRotondes, est une petite forme inattendue qui prouve la fascinante diversité du théâtre.
Quand les spectateurs pénètrent dans la salle, ils y découvrent une scénographie à la fois originale et séduisante.
LIBERATION mars 2010
(…) Argile. Mais la surprise de ce début des Giboulées fut la sortie du placard D’Etats de femmes, créé en 2006 par Alice Laloy. Quatre hommes sur une scène, dont un musicien. Un corps d’argile prend formes sous leurs mains, une féminité de matière.